Je dois me rendre à l'évidence: je suis NULLE en selfie. Je vous évite les terribles images de moi essayant tant bien que mal de me prendre en selfie, et vous met la seule photo qui était relativement passable. Ha! Fini pour moi les selfies! Mais qu'importe, j'étais à Barcelone!!
Je suis de retour depuis déjà une semaine et je n'ai pas eu le temps d'écrire un petit mot sur la formidable aventure que je viens de vivre à Barcelone au festival Mon llibre. Alors voici-voilà, un résumé de mon voyage...
Tout d'abord, je dois dire un grand MERCI au Bureau du Québec à Barcelone, sans qui ce voyage n'aurait pu être possible. Merci à Dimitra et Ester et Esther, qui m'ont très bien accueillie!! Et un second immense MERCI à Élodie et Eliana, de chez Editorial Juventud qui ont aussi permis à ce voyage de se réaliser, et qui m'ont elles aussi très bien accueillie. Et enfin, MERCI à l'équipe de Mon Llibre, ce fantastique événement qui m'a faite invitée d'honneur pour leur 10ème édition et qui m'ont fait vivre de bons moments!
Eliana et moi, avec le petit chaperon rouge et le grand méchant loup... et deux petits coquins!
Les remerciements sont faits, ils étaient très mérités, et maintenant... photos!!
Pour moi qui débarquait de l'avion, directement (ou presque) de Montréal au Québec où nous avons eu un hiver interminable et extrêmement froid (pour les non-initiés, il faisait facilement -30C régulièrement cet hiver chez nous...), des palmiers, c'était MERVEILLEUX. Résultat de mon enthousiasme: j'ai environ 50 photos de plantes et de palmiers de Barcelone sur mon ordi, et je ne sais pas trop quoi en faire. Mais sur le coup, c'était thérapeutique.
Visite éclair au Parc Guëll, où j'étais déjà allée il y a 15 ans. Je venais de descendre de l'avion et ma résidence était tout près. Ça me semblait un bon endroit pour décompresser et voir un peu de verdure. :)
Des FLEURS!!! Ouiiiiii!
Grâce aux gens du Bureau du Québec à Barcelone, qui ont choisi ma résidence pour la semaine, je me suis retrouvée dans une magnifique maison du quartier Gracia (tout aussi sympathique), la résidence internationale pour artistes Jiwar. Je n'aurais pu être mieux logée!
Premier rendez-vous de mon voyage: atelier pour une classe de maternelle moyenne-section du lycée français à la librairie francophone Jaime. Dans leur magnifique espace pour ateliers, j'ai fait la connaissance de petits garçons et de fillettes intéressés et amusants qui avaient plein de choses à raconter. Ils ont choisi Un éléphant qui se balançait et Mais papa, et j'ai terminé le tout avec Au carnaval des animaux.
crédit photo: Editorial Juventud
Zut! Je ne me rappelle plus quel animal c'était... un crocodile, peut-être... Mais il est trop drôle ce dessin!
crédit photo: Casa Anita
Jeudi soir, une petite rencontre-conférence était organisée à la librairie Casa Anita avec l'illustrateur Ignasi Blanch.
Deuxième rendez-vous du voyage: une rencontre avec l'illustrateur Ignasi Blanch. Trèèèèèès sympathique, ce fût un véritable plaisir! Il faut dire aussi que l'endroit était magnifique, dans la cour arrière de la librairie Casa Anita. Une soirée un peu étourdissante où Elodie, éditrice chez Juventud mais aussi ma traductrice de voyage, devait traduire mes réponses aux questions de Ignasi pour les participants. Je parle espagnol, mais pas assez pour faire une conférence sur mon travail. Et je ne parle malheureusement pas catalan (quoique après 4 jours, je commençais à comprendre plutôt bien). J'y ai passé un très bon moment, merci à Oblit de Casa Anita, à Ignasi pour un si bon moment et sa générosité, et à tous les participants
crédit photo: Ignasi Blanch
Ignasi, moi, et Élodie
crédit photo: VéroK
crédit photo: VéroK
crédit photo: VéroK
crédit photo: Casa Anita
Après la rencontre, j'ai fait quelques dédicaces. Souvent, quand je fais un petit dessin dans un livre, il y en a qui me plaisent particulièrement, et c'est avec un petit pincement au coeur que je les vois partir avec le livre... Cette fois-ci, j'ai une photo en souvenir! :)
crédit photo: Casa Anita
Petite anecdote: on m'a demandé pourquoi la baleine de Devant ma maison s'appelait Babette en français. Dans les versions espagnole et catalane, ils ont simplement omis de lui donner un nom. J'ai donc dû expliquer l'origine de la phrase Babette la baleine (bon, ça vient de Passe-partout, hein! Passe-montagne qui dit "Babette la baleine fait de bien belles bulles"...). :) Et comme je l'ai trouvé sur Youtube (magie de l'internet, quand tu nous tiens!), voici une vidéo explicative:
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